Génération Do It Yourself show

Génération Do It Yourself

Summary: Nous sommes la moyenne des personnes que nous fréquentons :Matthieu Stefani décortique le succès des personnes qui ont fait le grand saut. Que ce soient des entrepreneurs, des sportifs ou encore des artistes, je vous propose, sous forme d'interviews sans filtre, de rentrer dans leur histoire, dans leur quotidien. Mon objectif est de comprendre leur mode de pensée, leur organisation ou encore leurs outils, et de vous proposer un véritable MBA des échecs et des succès de ces invités.

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Podcasts:

 #39 Pauline Laigneau - Gemmyo - Podcasteuse Normalienne, Entrepreneure HEC, où sont ses limites? | File Type: audio/mpeg | Duration: 01:34:24

Quand on est normalienne et qu'on s'associe avec un centralien et un X, que fait on? Une marque de bijoux, quelle question. C'est ce type de paradoxes qui définit le mieux la vie da la co-fondatrice de Gemmyo, et "host" du superbe podcast "Crème de la Crème". Pauline Laigneau a un parcours unique, une soif d'apprendre et de comprendre, une curiosité et une ouverture d'esprit sans limites. Cette jeune parisienne qualifiée par le Monde de "bête de concours" a un parcours très singulier. Avant de s'associer avec son mari et son beau-frère, elle a cumulé Normal Sup et un master entrepreneuriat à HEC, en toute simplicité. Fille d'autodidactes, elle ne vient pas du moule des "fils de profs". Elle nous explique les questions qui ont jalonné tout son parcours, jusqu'à ce que Charif la demande en Mariage. C'est à ce moment là, aux alentours de la place Vendôme en cherchant une bague de fiançailles que l'idée leur saute aux yeux : une marque de bijoux haut de gammes, faits à la demande en France, à prix accessible. Gemmyo a l'avantage de ne pas immobiliser trop de matière première rare et chère, car les bijoux sont faits sur commande.  On évite ainsi les problèmes de trésorerie, les risques de vol, ou encore les invendus. "Être une femme Entrepreneure est un énorme atout" Pauline nous raconte ses petits secrets et toute l'aventure de Gemmyo, de 2011 à 2018 : Son association avec son futur mari Charif et son frère Malek à la sortie d'HECLe lancement d'un "POC" = création d'un site internet en moins de 3 mois pour trouver les premiers clientsLa première commandeLa galère des premières productionsLa première levée de fonds après juste 5 ventes (400 k€ levés en 3 semaines grâce à l'obsession des process de Charif) en décembre 2011La deuxième levée de fonds 6 mois plus tard avec le même procédé (600 k€)La 'serie A' en 2013 avec Alven : 3 millions dEurosLe choc des premières campagnes d'affichage dans le metro Aujourd'hui Gemmyo a 2 boutiques (Paris et Lyon) et continue son expansion à une vitesse fulgurante. Pauline travaille la marque, alors que ses associés sont sur les process, le management, les finances et la croissance. "Il faut avoir beaucoup d'ambition" Elle développe depuis quelques mois son Podcast Crème de la Crème, que je vous recommande vivement d'écouter, notamment les épisodes avec Jacob Abbou et Victor Lugger. https://podcast-cremedelacreme.com Les apps et outil recommandés par Pauline : Boomerang - boite mail sur pause Evernote Wunderlist Kindle Audio books Un livre d'entrepreneurs : Lean startup À quand la boutique Gemmyo sur la place Vendôme pour boucler la boucle? Je vous invite à regarder ce que fait Gemmyo sur : www.gemmyo.com À Ecouter https://podcast-cremedelacreme.com Et à suivre Pauline sur les réseaux sociaux suivants : https://twitter.com/plaigneau https://www.linkedin.com/in/pauline-laigneau-9956b019/ https://www.instagram.com/plaigneau/?hl=fr (!) Suivez moi aussi, tant qu'à faire : www.instagram.com/gdiypodcast/ www.linkedin.com/in/stefani/ www.twitter.com/mattintouch

 #38 Vincent Defrasne - de l'Or Olympique à la Fondation Somfy | File Type: audio/mpeg | Duration: 01:30:01

Je n'avais jamais eu la chance de discuter avec un champion Olympique. À part rapidement Edgar Grospiron pour un rendez-vous manqué. C'est désormais chose faite avec cet échange première classe avec Vincent Defrasne. Vincent qui? Me diront certains d'entre vous…  Vincent Defrasne, un type aussi humble que passionnant, qui te fait comprendre qu'une médaille d'Or Olympique, ça peut aussi être un (petit) fardeau à porter. Un sportif qui a 3 médailles Olympiques dans sa besace, dont une en Or et deux en bronze (en équipe), Un mec qui a été porte drapeau de la délégation française à Vancouver en 2010, Et surtout un homme qui se bat contre le mal logement depuis près de 7 ans, avec la Fondation Somfy et l'association les Petites Pierres : https://www.lespetitespierres.org/ Il a déjà accompli les deux premières lettres de son projet de vie SABA Sport Autres Business Art Et je suis impatient de voir comment il va vivre les prochaines. On s'est rencontrés sur twitter il y a quelques mois, alors qu'il avait Twitté un épisode de GDIY et que déjà à l'époque, je me disais, hyper fier : "cool je me fais mentionner par un champion olympique"!  Depuis, il a presque fallu que je le convainque de venir, je crois qu'il n'estimait pas avoir sa place ici... Vincent me parle de son expérience de vie, des personnes qui l'ont embarquées vers le succès, des déclics de sa vie.  Il nous donne sa vision de la différence entre les assez doués et les ultra doués, et nous explique pourquoi il s'estime être un "chanceux méritant". J'ai du mal à comprendre ce dernier point à vrai dire, quand il m'explique qu'il a fini 13 fois 4eme, je me dis qu'il est plutôt un besogneux "méritant"! Vincent évoque ses premières années de ski dès ses 3 ans, la découverte tardive du tir à la carabine, et l'importance du coaching mental un an avant son titre olympique. Après avoir tourné l'épisode, il m'a même demandé si on pouvait le refaire, car il avait oublié de mentionner que Martin Fourcade était le parrain des Petites Pierres! Maintenant vous le saurez. Je vous invite à donner sur : https://www.lespetitespierres.org/ Et à suivre Vincent sur les réseaux sociaux suivants : https://twitter.com/vdefrasne?lang=fr https://www.facebook.com/vincent.defrasne.1 https://www.linkedin.com/in/vincent-defrasne-16269ab1/

 #37 Romain Dessal TTSO - softpower : l'homme qui murmure dans la boite mail des décideurs | File Type: audio/mpeg | Duration: 01:19:09

Faire une newsletter que tu lis avant de partir du bureau pour briller en soirée : l'idée de génie qu'on a tous eue. Il y a eu plusieurs tentatives, mais dans les newsletters gratuites, il n'y en a qu'une seule qui est au dessus du lot, elle s'appelle TTSO Time To Sign Off c'est la seule newsletter que je lis religieusement tous les jours. Et pour cause. J'ai eu la chance d'échanger avec Romain Dessal, celui qui a réussi à relever ce défi fou de faire un objet médiatique condensé : un Extract de news qui permet aux ministres, aux chefs d'entreprises du CAC ou de PME, aux cracks de la finances et à toutes les personnes qui vivent leur travail à 200% et qui on besoin de ce résumé de la journée à lire en quittant le travail. Romain me raconte sa perception de la petite bourgeoisie intellectuelle de la rive gauche, l'élévation par les diplômes, le premier gros échec de sa vie à l'ENA, et son rapport à l'humilité. Il échange sur ses années fastes et hard à la tête de Harold (Groupe Havas) à Boston, le retour au placard à Puteaux, l'idée de TTSO et le lancement de la newsletter. Aujourd'hui avec 5 employés uniquement, il informe plus de 100 000 personnes quotidiennement, sur un modèle basé sur le "native Advertising", qui séduit déplus en plus de marques. N'hésitez pas à vous abonner, c'est gratuit : https://timetosignoff.fr/ Et à suivre TTSO et Romain : https://twitter.com/signoffparis https://www.linkedin.com/in/romaindessal/ https://www.facebook.com/TTSONewsletter/

 #36 Laurence Fischer - La championne du monde de Karaté qui défend les femmes | File Type: audio/mpeg | Duration: 01:48:17
 #35 Stéphane Distinguin - Faber Novel - Entreprendre comme un designer ! | File Type: audio/mpeg | Duration: 01:35:42

Doucement mais sûrement, Stéphane Distinguin fait son trou dans le digital Français. Depuis 2003 et la création de Faber Novel, il croit dans un model hybride entre le conseil en innovation et l’agence digitale. Entrepreneur dans l'âme, il lance en parallèle plusieurs entreprises comme Digitick ou BureauxÀPartager. Lui qui avait grandi dans une famille d’enseignants, n’avait pourtant rien à voir avec l’entreprenariat. C’est à l'âge de 13 ans, qu’il découvre le designer industriel et graphiste français Raymond Loewy qui lui inspire “l’envie d’entreprendre comme un designer.” Sa première expérience pro se passe en 1999. Année pendant laquelle il lance Cityrush.com, un site e-commerce de livraison à domicile. Le projet tient pendant 1 an et demi mais il ne réussit pas à le faire décoller. Après coup, il monte la première association des incubateurs en France, et rejoint Up&Up, un fonds d’investissements “early stage”. C’est là qu'il acquiert ses premières notions. Il observe, teste et décide de lancer Faber Novel en réponse à un besoin qui était de plus en plus présent sur le marché. “Les grandes entreprises avaient plus que jamais besoin de se transformer et l'argent pour le faire.” On est en 2003, les conditions étaients alors propices. La vulgarisation d’internet et l’effondrement des coûts rendaient de plus en plus facile le fait de proposer un produit ou une nouvelle offre. Stéphane lance se lance avec une promesse : “FABER” pour faire de grandes choses. Son modèle économique : du conseil, du service et un “excubateur” qui permet à l’entreprise de s’implanter en tant que partenaire crédible pour des personnes qui voulaient faire des choses qui n’existaient pas : “Regardez, si on sait le faire pour nous, on saura le faire pour vous” Aujourd'hui Faber Novel à 15 ans, et plus de 400 employés. Elle est implantée à San Francisco, à Shanghaï à Lisbonne, à New york et à Singapour, enchaînant les acquisitions.

 #34 Stéphane Boukris AKA le petit gars du buzz : Le don de savoir transformer le buzz en biz | File Type: audio/mpeg | Duration: 01:28:08

Quand le marché de l’emploi dans la tech est hyper tendu et que tout le monde fait ses recherches bêtement sur Linkedin, Stéphane Boukris prend un contre pied et invente un concept : “Combien Je Mérite” (.com) C’est comme ça qu’il récupère plus de 5000 CVs en quelques jours, d’ingénieurs qui ne sont pas “visibles” sur les réseaux sociaux, et qui ne savent pas s'ils sont payés à leur juste valeur. On pourrait appeler cette technique “La Méthode Boukris” : j’ai un problème, jai du mal à émerger? “J’invente un site internet avec un nom très explicite, un concept très simple à expliquer, et si possible un peu sulfureux et je lance en moins de 2 semaines pour faire un gros coup.” C’est ainsi que Stéphane, en à peine plus de 10 ans, a : Lancé un site qui s’appelle FaisMesDevoirs.com qui lui a valu un clash avec la moitié de la classe politique française. Distribué de l’argent dans Paris pour un site qui fait du “CashBack” (Mailorama), qui lui a mis a dos l’autre moitié des politiciens qui ont du créer la “Loi Boukris” Inventé le Hot Dog non-coupable “Double Saussice Kasher” “DSK” pour sauver un petit restaurant de Neuilly sur Seine en pleine affaire DSK → http://www.dailymotion.com/video/xjo83n Aidé une amie à faire le buzz pour son single en faisant croire à tout le monde que c’était la prochaine bande son de James Bond (!) Et plein d’autres aventures dans lesquelles il s’est embarqué après des études entre l’ESSEC et l’ESCP qui auraient pu l’orienter vers une voie beaucoup plus aseptisée. Stéphane Boukris s’éclate dans sa vie professionnelle, c’est un entrepreneur politiquement incorrect, une énergumène, un bulldozer atypique. Il nous raconte son parcours qui l’est tout autant dans ce nouvel épisode de Génération Do It Yourself. Il a aujourd'hui revendu son entreprise Amétix au groupe La Poste, il opère dans plusieurs fonds d’investissements, et semble prêt à lancer JeVaisFaireParlerDeToi.com ou UnBuzzParJour.com dans les 10 prochaines minutes.

 #33 Nicolas Paciello - Chef pâtissier : Viser les étoiles puis réussir à en ramener 2 ! | File Type: audio/mpeg | Duration: 01:54:55

Loin des levées de fonds habituelles, des startups et des investisseurs, je rencontre cette fois Chef Nicolas Paciello pour un épisode de gourmandise et de passion avec des histoires qui vous mettent des étincelles dans les yeux et l’eau à la bouche. “Je me suis pas dit je veux être pâtissier, je me suis juste dit je veux faire des gâteaux” Depuis l’étincelle qui brillait dans les yeux d’un gamin en voyant le marbrier de sa maman jusqu’au titre de chef pâtissier en passant par toutes ces étapes qu’il a gravies avec une détermination à tout casser, Nicolas nous raconte absolument tout. Ses fiertés, ses échecs ses coups de chance et ses rencontres extraordinaires. Bref, le dosage exact de ces petits ingrédients qui ont fait la recette de son succès. “Pendant 4 ans j’ai fait 6h-22h TOUS LES JOURS...pendant les jours de repos j’allais en boutique et je servais les gens” Tout commence par un stage d’observation chez le pâtissier de la ville, puis quelques concours et formations, beaucoup de bienveillance et surtout des nuits blanches et de longues heures de préparation. Ce qui lui permet de tenir ? un amour inconditionnel pour ce qu’il fait et un goût prononcé pour le challenge. Une passion tellement forte qu’elle lui ouvre les portes des plus grandes maisons. Fauchon avec Dominique Ancel, Hôtel le Crillon avec Jérôme Chaucesse, Cyril Lignac, La Réserve avec Jérôme Banquetelle avec qui il remporte les 2 étoiles au guide Michelin ou encore au prestigieux Prince de Galles avec Stéphanie. “Mon père, il avait rien compris. Il m’a envoyé en stage au bout de la rue, 5 ans après j'étais à Paris..” Aujourd’hui il n’est pas prêt de s’arrêter là, plein d’objectifs encore en vue dont les deux étoiles, le MOF, le livre de recettes, la chaîne Youtube, le 1M d’abonnés sur son compte Instagram ? “Quand t’es habitué à tout le temps apprendre et à faire de nouvelles choses, quand tu n’as plus ça, tu te fais vite chier” Bref, de l’observation à l'exécution puis à la création et enfin à la transmission. De Forbach à Paris en passant le Maroc ou encore Singapours. Nicolas est une personne délicieusement inspirante qui a encore tant à offrir et à laquelle on ne souhaite que du bon pour la suite ! Plus de détails croustillant dans l’article complet de l’épisode. Juste là : https://bit.ly/2ji1ZzI

 #32 Fabrice Grinda FJ Labs - Nerd, major de promo à Princeton, et entrepreneur bouillant | File Type: audio/mpeg | Duration: 01:12:51

Il se définit lui même comme un “nerd”. Cet épisode est tout simplement lunaire, un grand moment avec Fabrice Grinda, ce type très précoce qui a fait fantasmer les entrepreneurs français les plus pointus. Une fois n’est pas coutume, je vous propose comme descriptif de cet épisode, un condensé de ce que Fabrice m’a raconté. Pour plus d’infos, ajoutez-moi sur Linkedin et sur Instagram! Un étudiant prodige à Princeton : “J’étudiais tout et n’importe quoi... chimie organique, biologie moléculaire, guerre du Péloponnèse, économie, mathématiques, anglais, mandarin, espagnole...Mais de programmation, je savais déjà programmer à 10 ans.” “À 21 ans je suis sorti major de promo.” Le début de carrière à McKinsey : "J'étais entouré de gens très intelligents, et parmi eux j'étais souvent le plus intelligent et pourtant celui qui avait le moins de réussite - parce que pour réussir dans la vie, ce n'est pas qu'une question de QI : c'est une question d'empathie, de capacité à communiquer à l'oral ou à l'écrit, à savoir s'exprimer en équipe, ..." Un premier “échec” à Aucland : "J'avais une arrogance incroyable [...] : eBay m’a offert, avant que je lève des fonds auprès de Bernard Arnault, 20M$, j'avais 75% de la boîte, j'avais 24 ans, j'allais gagner 15M$ alors que la boîte existait depuis 4 mois." “J’avais pas fait ça pour l’argent, j’ai refusé de vendre...La boîte a éclaté, j’ai presque rien gagné.” Un renversement de situation à Zingy : "J'ai raté la paie pendant 4,5 mois - on est passé de 27 personnes à 7 personnes puisque quand on arrête de payer les gens : ils arrêtent de venir au travail :).” “Je travaillais 100h par semaine, j'avais 26 ans et je vivais avec littéralement 2$ par jour à NYC pendant 2 ans...je squattais le canapé de mon bureau." “On a fait 1M$ les 9 premiers mois de 2003, 4M$ les 3 derniers mois de 2003, l'année d'après on a fait 50M$, puis 200M$ en 2005...On est passé de 7 employés à 250 en 12 mois" "En fait, ça ne change rien dans la vie [...] Le vrai jour de célébration, c'est pas le jour où j'ai gagné 26M$, c'était le jour où on est devenu profitable et où j’ai pu payer mes employés." Une belle performance à OLX : “C’était énorme, le site faisait partie du top 20 des meilleurs sites au monde avec plus de 300 mille visiteurs par mois” "J'avais un bel appartement à NY, une belle voiture, une belle maison, [...] mais en fait, en ayant toutes ces choses-là, on en devient un peu prisonnier...Il faut pas raisonner en cost, mais en ce qui maximise notre bonheur à tout moment" Ce n’est pas fini à FJ LABS : “Aujourd’hui la boîte a déjà investi dans 400 startups et créé 8 startups qui cartonnent.” "Quand je crée une boîte, plutôt que d'embaucher une boîte de RP, j'embauche sur Upwork et je demande 'trouvez tous les journalistes qui ont parlé du sujet X sur la dernière année' - puis j'embauche d'autres personnes pour écrire un article spécifiquement pour eux et en phase avec leurs audiences." Un mode de vie Atypique : "J'outsource tout ce que je peux dans la vie. " "Je m'envoie un email tous les 6 mois pour évaluer où j'en suis dans ma vie personnelle et professionnelle et étudier toutes mes options" "À 27 ans, j'ai eu ma première copine...Maintenant j'utilise les mêmes stratégies de hacking que j'utilise dans ma vie entrepreneuriale pour vivre mes relations amoureuses.” Pour lire l’article en intégralité et connaître plus de détails sur le parcours de Fabrice Grinda, c’est par là : lien Linkedin

 #31 Ludovic Huraux - d'Attractive World à SHAPR - l'aventurier de la rencontre | File Type: audio/mpeg | Duration: 01:33:05

À travers sa philosophie de vie plutôt audacieuse, Ludovic Huraux nous raconte son parcours, ses rencontres, ses coups de cœur mais aussi les rouages et les difficultés managériales auxquelles il a dû faire face avant d’en arriver là. À 17 ans, Ludovic passait ses soirées aux Bains Douches où il y travaillait en tant RP. Un job marginalement payé, où il travaillait deux fois par semaine. Peu de temps après sa Terminale S, il passe le concours de l’IPAG et se fait accepter. Ses ambitions étaient alors de travailler dans le marketing sportif mais un mauvais stage à Londres chez IMG Mccormackle, le n°1 du marketing sportif le ramène à la raison et lui ouvre les yeux sur les difficultés des débouchés dans le milieu. Après ça, il se tourne vers la finance. C’est le début de l’aventure Attractive World. Il se lance alors avec aucune expertise dans la tech, mais avec pas mal d’audace et quelques dizaines de milliers d’euros. Il lève 550 000 euros pour la refonte du site et s’envole pour la Tunisie pour développer la plateforme. Tout ne se passe pas comme prévu. Il se retrouve avec un site défectueux, un marché très segmenté et un premier rejet sur le plan international avec des pays étrangers qui n’adhèrent pas au business model et ne voient pas le potentiel de la boîte. Ludovic ne se laisse pas faire pour autant. Il nous raconte tout de cette aventure. Ses multiples levées, le changement de modèle, l'importance des campagnes TV et du bouche à oreille pour une stratégie de lancement réussie. Il insiste surtout sur l'importance des rencontres et comment le précieux soutien de chacun de ses associés lui a changé la vie et lui a permit d'amener l'entreprise à la rentabilité dès 2012 pour dépasser le million d'euros de résultat net à partir de 2013 avec une croissance de 30-40% et un super taux de conversion. En 2016, à l’âge de 24 ans et après être arrivé à bien scaler le projet, il prend la décision de tout quitter et de vendre Attractive World pour repartir à l’aventure. Avant même de revendre Attractive World, Ludovic travaillait déjà sur un autre projet depuis 2014. Il s’agit de SHAPR, une plateforme qui permet, à la manière de Tinder, de rencontrer de futurs clients, fournisseurs ou collaborateurs. Un peu trop impatient, il laisse son égo prendre le dessus. En 2015 et malgré les 3 millions de dollars levés, il rate son lancement. “L’ego peut te donner une énergie extrêmement forte pour entreprendre, mais ça peut aussi te faire perdre le sens des réalités.” Cette douche froide lui permet de se rendre compte qu’il est passé à côté des choses essentielles. Fort de ces apprentissages, Ludovic se relève avec une seule idée en tête, se focus sur SHAPR. Résultats : -> 2016 : 500 nouveaux inscrits/jr -> Fin 2017 : 2000-2500 nouveaux inscrits / jr -> 2018 : plus de 3000 nouveaux inscrits / jr + 100 000 inscrits sur Février (en 28 jours) Aujourd’hui le projet connaît un énorme succès, notamment sur le marché américain, canadien et européen en France et en Angleterre. Et ce, avec une belle équipe de 30 collaborateurs et 16 et demi millions d’euros de levées. Et c’est loin d’être terminé. Ludovic se lance aussi dans la vidéo inspirationnelle avec - "conversations with people smarter than me". www.youtube.com/channel/UCftKyN6iCUaxEXFSuMoq2Gg

 #30 Géraldine Le Meur THE REFINERS - 3 ans, 7 millions d’€ levés et bientôt 60 boîtes lancées ! | File Type: audio/mpeg | Duration: 01:35:00

Mon invitée de ce 30ème épisode est une personne pas comme les autres, une de ces personnes qui respirent la force et la détermination et qui vous refilent tout de suite de l’énergie quand on les écoute. À à peine 23 ans, @Géraldine_le_Meur est déjà mariée et l’heureuse maman d’un petit garçon. Pas de temps à perdre, et sachant déjà exactement ce qu’elle veut, elle se lance aussitôt dans le business du web en 1995. L’aventure commence avec une agence web : Looping Communication qui prendra ensuite le nom de B2L où elle recrute son tout premier développeur pour la conception d’un site pour Peugeot. 2 ans plus tard,avec son compagnon et associé @Loïc, elle monte une deuxième boîte axée sur l'hébergement. Il s’agit de Rapid Site qui voit le jour à la suite d’une rencontre avec le patron de Domicile France Telecom. Rapid Site sera ensuite racheté par @Nicolas, le patron de Wanadoo. À 27 ans, Géraldine a déjà revendu ses 2 boîtes et réinvesti dans un startup studio - Business Space. Pour cette dernière boîte encore trop prématurée, ça se passe moins bien que pour les deux qui ont précédé. “Il y a un facteur très fort dans l’entrepreneuriat qui est que quand c’est trop tôt, c’est trop tôt et ça ne marche pas” Pas question de se décourager. Géraldine tire le meilleur de cette expérience qui lui a permis de côtoyer la crème des entrepreneurs. Elle en ressort avec un beau répertoire de contacts. Parmi lesquels il y a @Ben et @Mina trott. Un couple qui partage le même intérêt pour les blogs que Géraldine et son compagnon. Ils décident alors de s’associer. De cette association naît le projet UBlog, qui deviendra ensuite Six Apart. NB : On est encore bien avant l’apparition de #Wordpress. Le seul outil existant pour faciliter la création de blogs était Movable type. À cette époque là, il était aussi encore question de faire des allers-retours entre la France et les US pour pouvoir rester à jour en matière de nouvelles technologies. Et il en a fallu aussi peu pour inspirer à Géraldine l’idée de créer un nouveau projet. Le Web, qui s’appelait à ses débuts Les Blogs, vient s’ajouter au palmarès de Géraldine et Loïc. L’idée est toute simple, une conférence qui permettrait aux entrepreneurs d’avoir accès aux infos et nouveautés des US sans devoir aller aux US. On est en 2007, c’est la 2eme édition de Le Web et le succès est tel qu’on est obligé de restreindre le nombre d’invités pour éviter d’éventuels problèmes de communication. Car oui, il faut le dire, quand tu as 4000 personnes venant de 80 pays différents, communiquer devient forcément moins facile. La suite logique de ce succès ? Faire scaler Le Web, le revendre tout en continuant à l’accompagner et finir par le racheter pour passer 10 ans dans l'événementiel (rien que ça). En 2016, Géraldine croise le chemin de @Carlos_Diaz, et en 48h ils embarquent dans l’aventure The Refinders avec @Pierre_Gobil. Leur objectif : aider des entrepreneurs européens à penser global dès le début. Leur méthode : travailler avec des startups qui ont une vision et qui y croient. Le résultat : 3 ans -> 7 millions d’€ levés -> 60 boîtes lancées, dont Wilow et Lalilo - Le boîte qui aide les enfants dans l'apprentissage de la lecture. Pas de doute là-dessus, Géraldine le Meur est une vraie machine de guerre. Sa réussite, elle l’explique par deux facteurs : L’organisation La sérendipité

 #29 Alban Denoyel SKETCHFAB - 6 ans sans faire un € de chiffre d'affaires - le monde en 3D | File Type: audio/mpeg | Duration: 01:19:16

C’est à New York que je retrouve @Alban Denoyel dans les locaux de Sketchfab, “The place to be” si vous êtes intéressé par l'univers de la 3D, de la réalité virtuelle et de la réalité augmentée. Mais d’où est venue cette idée de projet alors que la 3D n’était encore qu’un serviteur de la 2D ? Comment a-t-elle réussi à se défendre sans être monétisée pendant toutes ces années et quelle sera sa place sur un marché de plus en plus compétitif ? “ J’ai toujours été quelqu’un de manuel” Tout commence avec la passion pour l’art et le sens créatif d’Alban. En 2010 il se lance dans la sculpture sur pierre, il s’inscrit dans un atelier où il commence à perfectionner ses techniques et il voue une fascination particulière à l’univers de la 3D. Même après ses études l’ESSEC, Alban savait déjà qu’il ne voulait pas d’un parcours classique. “Mes stages m’ont confirmé que je ne voulais pas faire de l’audit, du conseil ou de la banque.” Pour ne pas trop s’éloigner de son univers créatif, il réussit à se faire embaucher chez Polka magazine où il passe 4 ans à se former au business, à la finance, à la gestion et à la stratégie. Une expérience dont il ressort professionnellement plus mature mais surtout bien décidé à monter son propre business. À sa sortie et en attendant LA bonne idée, il gagne sa vie en faisant un peu de freelance sur du développement de sites web. Lors d’une soirée organisée par la startup Stupeflix (rachetée depuis par GoPro), toutes les pièces du puzzle se rejoignent autour d’une discussion sur la 3D qu’il partage avec celui qui deviendra son associé, Cedric Pinson. “Mieux vaut tard que jamais” Un déjeuner plus tard, le projet qui s’appelait alors ‘’ShowwebGL’’ et qui n’était qu’une simple techno permettant d’uploader un fichier 3D et de le publier en ligne, devient Sketchlab, une sorte de catalogue d'objets virtuels dédié aux créateurs, aux professionnels et aux amateurs. Le site a pour objectif de démocratiser les outils 3D et leur consommation et surtout de permettre que la 3D soit consommée comme telle et non pas en 2D. Un véritable Youtube de la 3D. “On vit dans un monde en 3 dimensions et jusqu’à maintenant l’ensemble de l’internet et des supports médias étaient 2D : une approximation de la réalité…” Après un mois, le site compte 1000 utilisateurs. Pas de doute, le besoin était bien réel. Les associés enchaînement les formations chez les accélérateurs tels que Sitecamp à Londre, Mozilla à San Francisco, Tech stars, Numa, où ils font leur immersion dans le monde des entrepreneurs américains, se font des contacts, rencontrent des investisseurs et goûtent même à l'échec et aux déceptions qui font partie de l’aventure entrepreneuriale. Fin 2012, il lèvent 500 000 $ puis 2 millions en 2013 et 7 millions en 2015. “La levée de fonds c’est comme la drague, pour convaincre t’as le moyen de paraître in love et de lui dire on est fait pour être ensemble et t’as le moyen de paraître désespéré et passer pour un Loser” Aujourd’hui plus que jamais et après 6 ans sans faire un euro de chiffre d'affaires, c’est le moment de vérité pour sketch Fab. Leur plan ? Rester concentrés sur la "market domination" tout en cherchant les meilleures solutions pour créer de la monétisation. Moi perso, j’y vois le début d’une belle ascension !

 #28 Pierre Valade SUNRISE - comment se faire racheter 100 millions par Microsoft | File Type: audio/mpeg | Duration: 01:23:46

Dans l'univers des Startups, Pierre Valade est un peu un mythe. Le mec qui a réussi à lancer une startup qui était "juste" un calendrier. Sans modèle économique. Mais ce simple calendrier, fut un temps, tout le monde s'est mis à l'utiliser, et personne ne savait vraiment pourquoi. Et pourtant, la raison était toute simple : ce calendrier était touché par la grâce, le génie de l'UX : il était tout simplement plus simple et efficace. C'est tout. En quelques mois, après avoir affriolé tout le petit monde de la tech, Pierre et son associé Jeremy Le Van on réussi à lever un premier tour de table, sans même avoir de présentation. L'application faisait tout le travail. Il n'aura pas fallu plus de 2 ans pour que Microsoft rachète l'application pour un prix estimé à plus de 100 millions de dollars. Sunrise sera ensuite très vite supprimée et intégrée aux autres produits de l'ogre de Seattle. C'est à Brooklyn que j'ai eu la chance de discuter avec Pierre, dans son appartement coquet de "Dumbo". Nous avons discuté startups, design thinking, expérience utilisateur, ergonomie, rythme de vie. Une très belle discussion que je vous invite à écouter sur ce super épisode de Génération do It Yourself. Si cet épisode vous plait, n'hésitez surtout pas à vous abonner à Génération Do It Yourself sur iTunes ou l'application podcast de votre choix, et à noter le podcast avec 5 étoiles (pas 4, c'est nul 4!). Show Notes : Master ME 310 : http://www.dschool.fr/me310/ Bernard Liotaud - Business Object - https://www.linkedin.com/in/bernardliautaud/ Simon Sinek - sa bible (et la mienne) - Commencer par "Pourquoi" Payez vous le bon matos pour votre ordinateur : http://bit.ly/2ruqqOm www.toutsavoir.net

 #27 Christophe Garnier - Spark Labs - Devoir refuser une offre à 100 millions, partir et rebondir | File Type: audio/mpeg | Duration: 01:12:26

Installé depuis le début de sa vie professionnelle aux Etats Unis, et depuis près de 12 ans à NewYork, Christophe Garnier est un enfant des startups. Il a été bercé depuis son premier job dans des entreprises qui levaient des millions et se revendaient en centaines de millions d'euros. Alors il a décidé de se lancer dans le grand bain, avec son associé Guillaume Gauthereau, ils ont lancé Totsy.com, une sorte de Vente Privée dédiée à l'univers de l'enfant et de ses parents. Totsy s'est stratosphérisée, le succès a été phénoménal, l'entreprise a très rapidement trouvée son public et a levé, en trois tours de table, près de 40 millions de dollars. Très rapidement, des acquéreurs potentiels sont sont intéressés à cette pépite, avec notamment une offre de rachat à 100 millions de dollars. Mais c'est là que les divergences on commencé : * certains actionnaires ne voulaient pas vendre * Le management a commencé à s'échauffer avec les actionnaires * Christophe s'est fait sortir * Guillaume s'est fait sortir * Et le concurrent qui avait levé beaucoup plus que Totsy a tout écrasé. Depuis Christophe a rebondi, il a créé Spark Labs, deux espaces de co-working à New York, spécialisé pour les étrangers qui veulent s'installer à Manhattan et se lancer au US. Il s'apprête également à lancer Upflex - une plateforme de flexibilité de travail pour les employés de plus grands goupes Pour retrouver Christophe : https://www.linkedin.com/in/cgarnier/ https://twitter.com/sparklabsinc https://www.facebook.com/chrisgarnernyc

 #26 Thibaud Elzière eFounders - quand ne lancer que 3 à 4 boites par an devient frustrant | File Type: audio/mpeg | Duration: 01:39:09

Thibaud Elzière est peu connu du grand public. Et pourtant Thibaud est un entrepreneur hors norme, une rock star chez les puristes du digital. Le genre de type qui ne paye pas de mine, qui fait ça par passion plus que pour l'argent, et qui pourtant ne manque pas de réussir, presque à chaque fois. Avant de créer e-founders, il a créé plusieurs entreprises, dont en particulier Fotolia et Zilok - qui deviendra ensuite Ouicar. "On arrive pas à créer plus de 3 à 4 entreprises par an" #WTF Fotolia, sa première startup créée dès la sortie de son école d'ingénieurs, a été revendue en plusieurs fois, selon plusieurs sources à des montants en centaines de millions d'Euros (!). En parallèle, il crée Ziloc en 2009, plateforme de location entre particuliers, notamment avec Marion Carrette, qui transformera la société en Ouicar, avant de la revendre à la SNCF en 2015. Avec Quentin Nickmans, il crée efounders en 2011, un "Startup Studio" qui a vocation a lancer des startups plusieurs fois par an, avec une équipe dédiée et un financement spécifique pour chaque unité : Après 7 ans d'activité, efounders n'a pas encore rentré 1 € de chiffre d'affaires (!). Et pourtant, les startups qui sortent du studio on levé plus de 70 millions d'euros, rien que de dans les premières semaines de l'année 2018! Vous avez dit une pépite? Thibaud nous raconte * comment il s'est fait virer de son premier job, à peine quelques jours après avoir commencé, quand son boss a trouvé un business plan tout frais sorti de l'imprimante, * Les balbutiements de Fotolia, et les belles années avec un chiffre d'affaires qui passe de 250 000 euros à 30 millions en quelques années * Sa passion pour les premières Années d'une entreprise, la création d'une équipe, des premières maquettes * La revente de Fotolia, en plusieurs étapes, pour un rachat final par Adobe, la maison mère de Photoshop * Le lancement de Ziloc, son départ * La cadence, les dépenses et le business de efounders, qu'il a lancé en 2011. Et plein de secrets de sa vie d'entrepreneur (de la création de monsosie.com à la revente d'autres petites boites, en passant par ses convictions de serial entrepreneur). Pour suivre Thibaud : https://www.linkedin.com/in/thibaud-elziere-a787913 https://twitter.com/tiboel Les startups de eFounders : www.e-founders.com : Mailjet —an all-in-one email delivery engine TextMaster — your professional, online translation service Mention — media monitoring made simple Front — the easiest way to work with team inboxes Aircall — the best phone system for your teams illustrio — editable stock images at your fingertips Hivy — office management made painless Forest — the Admin Interface your application deserves Spendesk — take control of your company spending Station — One app to rule them all Slite — the note app for teams

 #25 Clément Alteresco - Bureaux à Partager: créer Digitick, vendre 50 millions & ne toucher que 100k | File Type: audio/mpeg | Duration: 01:18:44

Clément Alteresco va chercher des idées simples : * tu as un téléphone? utilise le pour acheter tes tickets * Tu as un bureau trop grand? Loue ton espace disponible à d'autres entreprises. Sa force? Mettre tout ça en musique, s'entourer des meilleurs (qui ont tous le même nom), et travailler beaucoup. Lors de son stage de fin d"études, Clément se fait embarquer par son maitre de stage (Stéphane Distinguin, dont on a déjà parlé dans ce podcast) pour l'aider à créer l'agence Digitale FaberNovel. C'est ainsi qu'il attrape le virus de l'entrepreneuriat. Alors qu'il travaille sur un projet autour de tickets électroniques, il décide de se lancer avec un agence partenaire et FaberNovel dans l'aventure Digitick. Quelques années plus tard, Digitick sera revendue à Vivendi pour quelques 50 millions d'Euros. Mais ça, c'était sans compter qu'il n'avait commencé qu'avec 5% de la société, et qu'il a été lui passage fortement dilué par le partenaire en question. Clément reste en parallèle actif chez Faber Novel, et il est envoyé à San Francisco pour ouvrir le bureau de l'agence. Comme premier point de chute, il s'installe dans l'appartement trop grand d'une connaissance, et commence à louer des espaces disponibles. Et boom, il crée Sonoma, l'ancêtre de Bureaux à Partager. Il découvre l'importance de l'échange, du partage et de la collaboration, qui seront la base des premiers contrat de Faber Novel à SF. Après 3 ans en Californie, des rencontre incroyables et plusieurs déménagements de bureaux, il décide de rentrer. Il finit par se lancer pleinement dans l'aventure Bureaux à Partager en 2013, devenu depuis le Groupe BAP. 5 ans plus tard, il investit des écoles en déchéance de 7000 mètres carrés, développe ses propres espaces et lance plusieurs services autour du bureau, version 2018 : Morning Coworking - Le plus grand réseau d’espaces de coworking en France, facilitateur de rencontres. Link - Le logiciel dédié aux espaces partagés. Link simplifie la gestion administrative et fait vivre la communauté. Flex - pour faciliter le télétravail dans les grands groupes Et Bien entendu Bureaux à Partager : La plateforme de mise en relation pour trouver le bureau idéal partout en France. Dans ce podcast, Clément nous raconte comment il gère ses 70 employés (un management minimaliste), son virage vers l'entreprise libérée, et comme d'habitude ses petits secrets d'entrepreneurs. Vous pouvez retrouver Clément sur : https://twitter.com/calte?lang=fr https://www.linkedin.com/in/clementalteresco/ http://www.bap.fr Lectures : Frédéric LALOUX - Reinventing Organizations (entreprise libérée) https://zevillage.net/future-of-work/reinventing-organizations-frederic-laloux/ Isaac Getz - Vos idées changent tout https://livre.fnac.com/a1378202/Isaac-Getz-Vos-idees-changent-tout

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